Comment aider une personne dépendante ?

Vous avez un membre de votre famille qui souffre de dépendance mais vous ne savez pas comment l’aider ? En particulier pendant cette période, l’isolement physique et la distanciation provoquent de grandes tensions entre les membres de la famille qui vivent ensemble. Il est donc encore plus difficile que d’habitude d’entamer une conversation constructive au sujet de la dépendance d’un membre de la famille.

Cet article vous apprendra des moyens efficaces de communiquer de manière constructive pour aider votre proche à progresser vers la guérison. Les cinq étapes du changement est un modèle psychologique utile qui décrit les étapes que les gens traversent, c’est-à-dire entre la non-reconnaissance de la dépendance et le rétablissement stable. Comprendre les cinq étapes du changement vous aidera à reconnaître le stade actuel de votre proche, ce qui vous permettra de l’aider efficacement à traverser cette étape.

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La dépendance nuit aux familles

Outre les souffrances des personnes dépendantes, leurs familles souffrent également. Par exemple, les conjoints de personnes dépendantes sont plus susceptibles de souffrir des problèmes psychologiques, y compris la dépression et l’anxiété. Les mariages se détériorent et s’effondrent souvent en raison de la dépendance — une étude de 2013 a montré que la dépendance au partenaire était le facteur décisif dans 12% des divorces.

La dépendance rend également beaucoup plus difficile d’être un bon parent. Les enfants dont les parents sont dépendants aux drogues développent souvent des problèmes de santé mentale et des déficits cognitifs. Ces enfants sont également plus susceptibles d’avoir des problèmes de comportement et des difficultés scolaires. Ils sont également plus susceptibles de développer eux-mêmes des troubles liés à la consommation de substances.

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L’isolement et la distanciation physique aggravent

la dépendance L’isolement physique et la distanciation mettent à rude épreuve la santé physique et mentale de nombreuses personnes. La plupart des gens ont été contraints d’abandonner leur routine quotidienne et leurs activités qui leur procuraient auparavant plaisir et stabilité. Cela fait peser un fardeau encore plus lourd sur les membres de la famille qui souffrent de toxicomanie, qui sont confrontés à des niveaux sans précédent de peur, de frustration, l’incertitude et la solitude.

Les liens familiaux sont également mis à l’épreuve. Avec tout le stress, la peur et l’incertitude créés par la pandémie de COVID-19, aggravés par l’auto-isolement, les tensions familiales augmentent sans aucun doute. Il est donc particulièrement difficile pour les membres de la famille de soutenir leurs proches de manière appropriée, tout en essayant de gérer leurs propres peurs.

Parlez avec compassion ; écoutez sans juger

Lorsque vous parlez à un membre de votre famille qui souffre d’une dépendance, ce que vous dites est important. Mais le ton que tu utilises est encore plus important. La « compassion » signifie que vous faites de votre mieux pour comprendre ce que ressent votre proche. Cela signifie que vous devez écouter avec empathie et ne pas le juger de quelque façon que ce soit. Assurez-vous qu’il a l’impression d’être écouté et que sa souffrance est entendue. Assurez-vous qu’ils comprennent que vous voulez qu’ils se sentent mieux parce que vous les aimez et que vous voulez le meilleur pour eux.

Honte. La peur. L’isolement. Regret. L’impuissance. La douleur. Le désespoir. Ces les types de sentiments alimentent la dépendance. L’antidote à ces émotions est la compassion, qui consiste à aider le membre de votre famille à se sentir soutenu, connecté et aimé. De plus, en exprimant une gentillesse compatissante, vous aiderez votre proche à développer de l’auto-compassion. Et l’autocompassion est un outil puissant pour se remettre d’une dépendance.

Les cinq étapes du changement

Les chercheurs ont découvert cinq étapes que les gens prennent pour passer de la non-reconnaissance d’une dépendance à un rétablissement stable. La nature du soutien dont une personne a besoin dépend de son stade actuel de changement. Les descriptions des étapes qui suivent vous aideront à reconnaître la phase dans laquelle se trouve votre proche. Chaque description d’étape est suivie d’approches efficaces pour aider une personne à ce stade.

Étape 1 : Pré-contemplation

Lors de la pré-contemplation, une personne ne pense pas activement au changement ou ne veut pas changer. Souvent, les personnes en pré-contemplation sont dans le déni. Ils ne voient pas leur consommation comme un problème. Le membre de votre famille peut également être incapable ou réticent à voir comment sa dépendance affecte négativement ses proches.

Aider un membre de la famille avant la contemplation

Parce que le changement n’est pas nécessairement à l’ordre du jour de votre proche, vous voulez l’encourager gentiment à prendre conscience des méfaits que leur dépendance lui cause. Sans porter de jugement, aidez-les à prendre conscience et à envisager les avantages possibles de l’arrêt ou de la réduction de la consommation.

Voici quelques sujets que vous pouvez explorer avec votre proche.

  • Est-il possible qu’elle soit de plus en plus dépendante de la substance ?
  • Quels sont les risques encourus s’il continue à consommer ?
  • À quoi ressemblerait sa vie s’il arrêtait de consommer ou s’il consommait moins ?

Parfois, votre proche peut nier qu’il a un problème et vous remarquerez peut-être qu’il devient sur la défensive. Dans de telles situations, vous pouvez réduire l’intensité de la conversation en rappelant à votre proche qu’en fin de compte c’est lui qui décide de changer ou non, car personne d’autre ne peut prendre la décision à sa place.

Étape 2 : Contemplation

En contemplation, une personne commence à envisager l’idée d’arrêter ou de réduire sa consommation de substances. Peu à peu, elle commence à reconnaître les conséquences négatives de sa dépendance. Cependant, les personnes en contemplation sont souvent ambivalentes et incertaines quant à leur volonté de changer ou non.

Aider un membre de la famille dans la contemplation

Utilisez des questions ouvertes pour aider le membre de votre famille à mieux comprendre en quoi sa vie serait différente s’il arrêtait de consommer.

  • Quels sont les avantages et les inconvénients de continuer à l’utiliser ?
  • Quels seraient ses avantages s’il cessait de consommer ou s’il consommait moins ?
  • Qu’est-ce qui rend difficile l’arrêt de sa consommation ?
  • À quoi pourrait ressembler sa vie s’il était en convalescence ?

En aidant votre proche à comprendre et à évaluer les coûts de sa consommation et les avantages de sa guérison, vous pouvez l’aider à résoudre son ambivalence et à faire ses premiers pas vers le changement.

L’étape de la contemplation est également un bon moment pour rappeler à votre proche que vous êtes là pour lui et que vous l’appuierez tout au long de son processus de guérison. Le fait de savoir qu’ils ont votre soutien peut les motiver à prendre une décision et à commencer à se préparer au changement.

Étape 3 : Préparation

En préparation, une personne reconnaît qu’elle a un problème. Elle sait qu’elle veut changer. Le membre de votre famille commence à élaborer un plan pour surmonter sa dépendance, qui comprend la recherche d’options pour obtenir de l’aide professionnelle.

Aide à préparer un membre de la famille

Remarquez tous les petits changements que votre proche fait — encouragez-le en lui exprimant votre appréciation et votre gratitude. Les commentaires positifs motiveront votre proche à maintenir leur élan alors qu’ils progressent vers la guérison.

Vous pouvez également aider votre proche à élaborer son plan de rétablissement en répondant aux questions suivantes avec lui.

  • Quelles sont les options de traitement disponibles ?
  • Quels sont les avantages d’obtenir de l’aide professionnelle ?
  • Quels sont les défis et les risques liés au fait d’essayer de s’améliorer sans l’aide d’un professionnel ?
  • Quel type de programme de traitement professionnel lui conviendrait le mieux, qu’il soit en établissement ou en consultation externe ?
  • Quels sont les avantages et les inconvénients du traitement en personne par rapport au traitement en ligne ?

Étape 4 : Action

En action, les gens travaillent activement au rétablissement. À ce stade, les gens font des choses comme la désintoxication, arrêtent ou diminuent leur consommation, recherchent des ressources de récupération et s’entourent de personnes qui les aident à se rétablir, notamment en participant à des groupes de suivi. Vous verrez votre bien-aimé commencer à lâcher la béquille qu’il utilisait auparavant. la douleur émotionnelle sous-jacente à la dépendance.

Aider un membre de la famille en action

Au cours de cette phase passionnante mais difficile, continuez à rappeler à votre proche que vous le soutenez et que vous croyez en lui.

L’auto-efficacité est la croyance d’une personne en sa capacité à atteindre ses objectifs avec succès. La recherche a constamment montré que les personnes ayant un niveau élevé 10 Vous pouvez aider à augmenter l’auto-efficacité de votre proche en le soutenant et en l’encourageant à chaque étape réussie qu’ils franchissent et à chaque nouvelle étape qu’ils franchissent.

Cette étape implique un travail acharné et un certain inconfort pour les personnes qui la traversent. Renseignez-vous souvent auprès de votre proche pour savoir comment il va. Il n’est pas rare que les personnes à ce stade ressentent des envies de consommer et il est important qu’elles se sentent à l’aise de discuter de ces émotions avec vous lorsqu’elles surviennent. Comme mentionné ci-dessus, les émotions inconfortables et les envies de consommer sont susceptibles d’être plus intenses en raison des conditions liées à la pandémie de coronavirus. Plus que jamais, il est important d’être sensible aux signes que votre proche est en difficulté et de faire de votre mieux pour lui offrir soutien et réconfort.

Étape 5 : Maintien

Dans le cadre de l’entretien, une personne a réussi à arrêter de consommer les substances auxquelles elle était accro. Si elle avait une dépendance comportementale, elle a cessé d’adopter ses comportements problématiques. Maintenant, elle se concentre sur le maintien de sa convalescence. Elle apprend de nouveaux comportements sains qu’elle s’efforce d’adopter de manière cohérente afin de créer les habitudes nécessaires à une nouvelle vie saine. À ce stade, une personne doit avoir un plan de suivi clairement défini pour y participer régulièrement. Il peut s’agir de conseils individuels, de groupes de soutien ou de programmes ambulatoires.

Aide à l’entretien d’un membre de la famille

Célébrez les progrès de votre proche et félicitez-le pour tout ce qu’il a accompli. Surmonter la dépendance est peut-être le plus grand défi qu’une personne puisse relever ! Exprimez votre grand respect et appréciez ses efforts et ses réalisations.

S’ils n’en ont pas déjà un, c’est le moment d’aider votre proche à élaborer un plan de prévention des rechutes.

  • Quelles stratégies et quels outils peut-il utiliser pour maintenir son abstinence à long terme ?
  • Un exemple d’outil efficace est l’application Wagon, un plan de prévention des rechutes au téléphone : elle vous rappelle chaque jour de faire des activités saines, fournit un accès facile aux stratégies d’adaptation les plus efficaces, comprend un journal pour enregistrer les sentiments et les déclencheurs ressentis chaque jour et suit les progrès vers objectifs de rétablissement
  • Dressez une liste de personnes qu’il pourrait demander de l’aide s’il se sentait en danger de rechute.
  • Aidez-le à définir clairement les mesures qu’il prendrait pour se remettre sur pied en cas de rechute.

La rechute est une opportunité d’apprentissage, pas un échec

La dépendance est une maladie chronique qui peut mener au cerveau des perturbations qui persistent longtemps après l’arrêt de son utilisation. La recherche indique qu’entre 40 et 60 % des personnes traitées pour une dépendance rechuteront et recommenceront à consommer à un moment donné après la fin de leur traitement. Comment pouvez-vous soutenir votre proche si cela se produit ?

Votre proche doit toujours prendre toutes les précautions possibles pour minimiser ses risques de rechute. Toutefois, si votre proche rechute, évitez de le juger ! Ne considérez pas cela comme un échec et ne soyez pas déçu. Aidez également votre proche à voir sa rechute comme une occasion d’apprentissage et non un échec, ce qui l’aidera à récupérer plus rapidement. Il est essentiel d’éviter de leur faire honte, car la honte est très contre-productive lorsque vous essayez de vous rétablir.

Aidez votre proche à comprendre comment et pourquoi sa rechute s’est produite et utilisez ces résultats pour élaborer de nouvelles stratégies de prévention des rechutes afin que son rétablissement soit plus fort à l’avenir.

  • Quels ont été ses déclencheurs ?
  • Comment aurait-il pu a géré la situation plus efficacement ?
  • Que peut-il faire pour éviter une rechute face à des situations similaires à l’avenir ?
  • Concevoir et mettre en œuvre de nouvelles stratégies de prévention des rechutes.

En plus d’aider votre proche à tirer des leçons de sa rechute, vous devez également vous assurer qu’il demeure responsable.

  • Aidez-les à élaborer un plan clairement défini pour se remettre sur pied.
  • Aidez-le à mettre en pratique de nouvelles stratégies de prévention des rechutes et à les mettre en œuvre dans des situations réelles.
  • Renseignez-vous régulièrement auprès d’eux pour vous assurer qu’ils suivent leur plan et qu’ils progressent régulièrement vers un retour à leur rétablissement.

La plupart des toxicomanes ont besoin d’un traitement professionnel

Surmonter la dépendance est un processus très difficile et la plupart des gens ont besoin d’une aide professionnelle pour se rétablir à long terme. Insistez auprès du membre de votre famille sur le fait qu’obtenir de l’aide ne signifie pas qu’il est faible ou incompétent. Comment expliquer les points suivants adressés à votre proche peuvent l’aider à le convaincre qu’obtenir de l’aide professionnelle est souvent le meilleur choix.

  • La toxicomanie est une maladie chronique et complexe qui affecte différentes personnes de différentes manières.
  • Les solutions universelles ne sont pas très efficaces pour obtenir des résultats durables.
  • Un traitement individualisé par des experts est souvent nécessaire pour obtenir des résultats qui changent la vie.
  • La désintoxication peut être très inconfortable et, dans certains cas, les symptômes de sevrage peuvent mettre la vie en danger. Par conséquent, la surveillance médicale est très importante pour la désintoxication.
  • Les personnes souffrant de toxicomanie souffrent souvent de troubles mentaux non diagnostiqués et de problèmes médicaux concomitants. Un programme de traitement complet peut répondre à toutes ces préoccupations en même temps, maximisant ainsi les chances de guérison à long terme d’une personne.

Quand un membre de votre famille refuse de parler de sa dépendance

Le rétablissement demande du courage. En discutant de leurs difficultés avec vous et reconnaissant qu’ils ont un problème, votre proche se rend très vulnérable. Cela peut être incroyablement effrayant, surtout pour les personnes en phase de pré-contemplation ou de contemplation. Que pouvez-vous y faire ?

Obtenez de l’aide pour vous-même

Si la dépendance de votre proche vous cause de la détresse, vous pouvez demander l’aide d’un psychothérapeute. Discuter de votre situation avec un professionnel de la santé mentale peut vous aider à composer avec l’impuissance, la frustration et la peur que vous ressentez en raison de la dépendance de votre proche. Vous pouvez également choisir de vous adresser de façon proactive à un spécialiste de la toxicomanie qui pourra vous donner des conseils supplémentaires sur la meilleure façon d’aider votre proche et de le motiver à amorcer son processus de guérison.

Mettre en place une intervention

Une intervention consiste à demander à un membre de votre famille de s’asseoir pour discuter avec le reste de la famille de la façon dont sa dépendance l’affecte négativement, ainsi qu’avec tous ceux qui l’entourent lui. Cela implique inévitablement des conversations difficiles et émotionnellement intenses. C’est pourquoi vous devriez engager un conférencier professionnel pour guider la conversation et vous assurer qu’elle soit aussi productive que possible.

C’est leur rétablissement, mais vous pouvez faire toute la différence

N’oubliez pas qu’un changement durable prend du temps. De plus, peu importe l’intensité que vous ressentez face à la dépendance de votre proche, vous ne pouvez pas le forcer à changer. Comme le dit le proverbe : vous pouvez conduire un cheval à l’auge mais ne le forcez pas à boire… Seul votre proche peut prendre la décision de changer. Néanmoins, vous avez un énorme potentiel pour influencer positivement son processus de guérison et l’aider à réussir. L’une des meilleures approches pour aider un membre de la famille qui souffre d’une dépendance est de reconnaître son stade actuel de changement et de l’aider de la manière la plus efficace à ce stade.

Nous pouvons vous aider

Si vous ou quelqu’un que vous connaissez avez besoin d’aide ou si vous avez d’autres questions, veuillez nous appeler. Nos lignes téléphoniques sont ouverts 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Vous pouvez donc nous appeler à tout moment au numéro suivant : 1-888-488-2611.

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